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Une petite gaterie bien agréable...
Je tiens à vous tenir en garde...je n'ai pas l'habitude de parler de certaines pratiques qui affolent tes hormones mais là c'est trop grave pour que je me taire dans le silence...et ce d'autant plus que mon Homme doit connaître la vérité. Il savait que je résistais depuis plusieurs mois aux avances de Maxivirus...cette fois fut tellement sensuelle que je n'ai pas pu m'empêcher de commettre l'irréparable
Je m'étais juré que je ne craquerai jamais pour Maxivirus....J'ai une réputation d'ange bien sous tous rapports à entretenir...et puis j'ai mon Homme qui me comble à chaque instant. Mais ce jour là je ne sais pas ce qui m'est arrivé...à la réflexion, si....une infection virale carabinée à la période d'incubation extrêmement courte puisque dès que je l'ai attrapé j'ai ressenti irrémédiablement les premiers symptômes de cette pathologie....une augmentation subite de ma libido, une envie irrépressible de faire une gâterie. Il faut bien avouer que la virulence de l'individu est particulièrement diabolique. Maxivirus venait de terminer son séjour à Béziers, où semble-il il aurait eu quelques histoires croustillantes à nous révéler, et était cordialement invité en tout bien tout honneur au départ dans mon nouveau chez moi. Ne vous approchez jamais du Virus. Son attaque est subite, rapide et ciblée. Je fus une victime consentante malgré moi. Oublié la retenue et la bienséance, dès que j'ai vu qu'il m'offrait son gros paquet, j'ai su qu'il fallait que je passe à l'action et le travailler au corps et ce n'est pas Maxivirus qui pourrait sans plaindre, loin de là. Il savait que j'allais répondre enfin à ses avances. S'occuper de son paquet. Faut le déballer avec attention, c'est fragile ces choses là. Une fois mis à nu, le spectacle était à la hauteur de mes attentes. Complètement offertes, parfaitement oblongues, de taille idéale pour être mise en bouche, j'en salivais d'avance. Délicatement je me suis approché de la première en la caressant du bout de mes doigts, un toucher de velours, hmmmmm......c'en était trop. L'appel de ma bouche fut ravageur. J'ai englouti précautionneusement ce précieux fruit pour le sucer, le faire tourner en bouche, le titiller avec ma langue, m'amuser. Son goût était subtil, délicat et même discrètement fruité. Cela m'a étonné d'ailleurs...alors pour ne pas faire de jalouse, je me suis occupé de la deuxième. Maxivirus semblait comblé de tant d'attention. Il savait qu'il me faisait plaisir. La sœur jumelle était en tout point semblable à la première et aussi délicieuse....hmmm c'était trop trop bon....et puis la réalité a repris subitement le dessus. Une révélation. Un adultère. C'était bien cela que j'avais fait sous l'impulsion de cette pathologie d'origine virale. Un charme fou ce Virus....mais comment j'allais expliquer à mon Homme que je venais de jouer avec délice avec les coucougnettes du Maxivirus !...Je n'ai pas eu besoin de mentir car mon Homme lui aussi les a goûté et les a adoré également. L'honneur était sauf.
Pour nous remettre de nos émotions respectives, j'ai entrainé Maxivirus dans une visite quasi touristique dans les rues bordelaises dans lesquelles ses yeux avides de nouveauté flairaient d'autres victimes potentielle de son charme destructeur, des beaux gosses « où ils veulent quand ils veulent et même sans payer ». Malheureusement pour lui, la grisaille bordelaise n'était pas d'humeur à faire sortir les éphèbes de leur tannière...et pourtant nous sommes passés aux endroits stratégiques de Burdigala. Pour se consoler de cette terrible déception, ce n'était pas encore aujourd'hui qu'il rencontrerait son prince charmant, le hasard nous a fait rencontrer une ancienne connaissance du Virus....et nous avons finit la journée entre mecs, 5 gays, 5 hommes vraiment différents, dans un brésilien....et là encore nous nous sommes régalés au terme d'une véritable orgie. Comme quoi le Virus sait y faire pour les bons coups !!
Tags : coucougnettes, virus, délice, gâterie
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Commentaires
koukoulou!! c'est moi, je t'ai enfin retrouvé ! et l'autre là, le Virus qui me disais " mais non, ça marche, moi j'y vais " ah la courge celui-là je te jure ! j'ai cru que ça venait de chez moi....
gros bisous mon pousin
@ Boutfil :
T'es encore vivante toi ?
Et tu sais ce quelle te dit la courge ?
Au fait tu viens à la prochaine blogobouffe ?
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Quel plaisir de revivre ces moments torrides !
PS : L'expression exacte que nous partageons avec Stephan est "Lui, c'est quand il veut, où il veut, et en plus il ne paye pas ! "
(je précise car je ne voudrais pas être assailli de demande de rémunération )